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Prévention utilisation des écrans et des réseaux

Par MICKAEL PARISOT, publié le mardi 6 décembre 2022 22:34 - Mis à jour le mardi 6 décembre 2022 22:34
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Ce mardi 6 décembre, Mme Garnier-Martinez intervenante de l’Association Addictions France est venue faire de la prévention sur les risques liés aux écrans et aux réseaux sociaux avec les 4èmes.

Ce mardi 6 décembre, Mme Garnier-Martinez intervenante de l’Association Addictions France est venue faire de la prévention sur les risques liés aux écrans et  aux réseaux sociaux avec les 4èmes.

Mme Garnier-Martinez étant déjà intervenue l’an dernier, elle a pu s'appuyer sur l’action, menée dans le cadre du parcours santé sur les jeux vidéos en reparlant des pictogrammes. Les élèves ont listé les différents écrans et ce que l’on peut faire avec : contact, vidéos, séries....

L'intervenante et M. Serrier, professeur de SVT ont, cette année encore, pu constater que même si nos élèves étaient très lucides sur le contenu de ces réseaux et les risques liés à leur utilisation, l’attitude qu’ils adoptent sur ces réseaux peut les mettre en dangers.

L’intervenante les a particulièrement  mis en garde sur les effets néfastes des réseaux sociaux et la course aux vues de Tiktok notamment. Ce fût l'occasion de rappeler qu’en théorie, l’accès à ces réseaux n’est autorisé qu’à partir de 13 ans.

Comme ils ne sont pas toujours conscients de leur dépendance à  leur « précieux » et de l’incidence sur leur concentration, Mme Garnier-Martinez les a invités à participer au jeu des notifications : un élève essaie de faire un exercice de mathématiques pendant que d’autres élèves jouent le rôle d’un téléphone comme si des notifications arrivaient. Ces élèves répètent : sms reçu… jusqu’au moment où l’élève répète la notification. L’objectif de cette exercice est évidemment de montrer que la dépendance aux écrans peut nuire au travail scolaire, car à chaque notification, il est tenté de la regarder ce qui entraine une perte de concentration.

Pour terminer, et faire le point sur le droit à l’image et les dangers d’exposer sa vie privé ou des photos intimes, les élèves se sont prêter au jeu du « je publie, je ne publie pas ».